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Gabriel Fauré (1845-1924)

Gabriel Fauré (1845-1924)

Requiem

Elève de la célèbre école NIEDERMEYER à Paris, Gabriel Fauré fut influencé tant par Johann Sebastian Bach que par la modalité grégorienne. Sous la houlette de Camille Saint-Saëns, il découvrit et pratiqua Schumann, Liszt et Wagner avant de débuter une brillante carrière d’organiste. Professeur de composition au Conservatoire de Paris, il eut pour élève, entre autre, Maurice Ravel. Immense musicien, sa sensibilité musicale s’exprime à travers la clarté de la mélodie et les subtilités de l’écriture harmonique, toute en finesse.

Le Requiem opus 48 constitue sans doute l’oeuvre la plus célèbre du compositeur. Composé en 1888, Fauré écrivit rapidement une seconde version incluant l’Offertoire, entre 1889 et 1891, l’orchestre modeste fut alors augmenté de cuivres. En 1893, une troisième version incorpora bassons et trompette. C’est ensuite l’éditeur Hamelle qui réclama une version pour grand orchestre à Fauré. Celle-ci fut réalisée seulement en 1899 s’éloignant fortement du climat intimiste d’origine.

« Un Requiem doux comme moi-même » affirmait Fauré.

On a souvent dit qu’il n’exprimait pas l’effroi de la mort mais c’est ainsi que notre compositeur se la représentait. Fauré se déclarait indifférent au catholicisme et son Requiem qui fait l’économie d’un fracassant Dies Irae n’est pas très liturgique ; il s’agit plus de l’accompagnement de l’âme vers sa consolation et son éternité.

  • Effectifs : 40 choristes et 25 musiciens
  • Durée du concert : 1h30

Bernard Lienhardt

Bernard Lienhardt

Cantate de Saint Jean-Baptiste

Né en 1951 à Strasbourg, Bernard Lienhardt est lauréat du Conservatoire de musique de Strasbourg en piano, écriture musicale et direction d'orchestre. Il travaille l'écriture avec Jean Paul Baumgartner, puis, plus tard, la composition avec Georges Delerue, à Paris. Son catalogue, qui comprend une centaine d'opus, aborde tous les genres : comédies musicales,opéras pour enfants, musique de chambre, musique de scène et oeuvres instrumentales.

Mais c'est la musique sacrée qui demeure son domaine de prédilection : plusieurs cantates, un stabat mater, le cantique de Saint François, plusieurs messes et psaumes, de nombreux motets et surtout quatre oratorios : Odile d'Alsace, Saint Vincent de Paul, Saint Martin et l'enfant prodigue, dans lesquels on observe une forte imprégnation du chant grégorien. En 2006, il remporte, avec un Noël, « le roi de lumière », un grand prix de composition de musique religieuse du Luxembourg.

Cantate pour baryton, psalmiste, choeur à 4 voix mixtes, schola grégorienne, violon solo et orgue.

D’une durée approximative de 40 minutes, la cantate est composée de trois volets sur un livret rassemblant des textes du prophète Isaîe pour la première partie « Peuple qui marche des ténèbres vers la lumière », des extraits de l’Evangile selon St Jean et St Luc pour la 2e partie « Une voix qui crie dans le désert » consacrée à Jean-Baptiste, et une adaptation française d ‘antiennes grégoriennes des vêpres de l’Avent pour la troisième partie « Une joyeuse Espérance ».

Les concerts de cette saison

Bernard LIENHARDT, Cantate de Saint-Jean Baptiste

Bernard LIENHARDT, Cantate de Saint-Jean Baptiste

  • Eglise Saint-Louis - STRASBOURG
Gabriel FAURE, Requiem - Bernard LIENHARDT Cantate UNE JOYEUSE ESPERANCE

Gabriel FAURE, Requiem - Bernard LIENHARDT Cantate UNE JOYEUSE ESPERANCE

  • Eglise Saint-Laurent - Sausheim
Gabriel FAURE, Requiem - Bernard LIENHARDT, Cantate UNE JOYEUSE ESPERANCE

Gabriel FAURE, Requiem - Bernard LIENHARDT, Cantate UNE JOYEUSE ESPERANCE

  • La Comète - Hésingue